Août 430 après JC., quelques années avant la chute de Rome, Hippone est assiégée par les barbares vandales du roi Genséric. Le peuple, terrifié, se laisse gagner par le désespoir.
L’évêque d’Hippone, Augustin, âgé de soixante-dix ans, a la possibilité de quitter la ville sur un bateau envoyé par le Pape. Mais, il décide de rester et de mettre sa confiance en Dieu seul. Pourtant cet ancien orateur de la cour impériale n’a pas toujours eu la foi…
Robert Adolle –
Magnifique œuvre cinématographique. Au spectateur non chrétien, il se montre une reconstitution historique extrêmement vivante et précise des dernières années de l’Empire romain ; à tous, il dépeint l’importance de l’annonce de l’Évangile qui se poursuit sous cet Empire, et qui permettra qu’à celui-ci succède, non le retour à la barbarie et au chaos, mais un monde nouveau aux splendeurs sans doute moins frappantes, mais bien meilleures et fécondes, celui de la Chrétienté, de la vraie fraternité et de l’amour, de la Liberté vraie, comme Saint Ambroise cité dans le film, celle que donne la Vérité, c’est-à-dire le Christ Fils de Dieu.
Robert Adolle –
Rectification de mon avis précédent :
“comme L’AFFIRME Saint Ambroise cité dans le film”